sábado, 23 de marzo de 2024

 

Je vous laisse ici, le début de mon prochain texte, qui portera sur les souvenirs de mes expériences réelles, survenues tout au long de l'année dernière (2023), après avoir terminé mon dernier livre, ONIX-Monde Zéro, que je viens de vous présenter.

À suivre...



A cette lumière qui m’éclaire

(Juillet 2023)

« Alors voilà, Madame... » commença le médecin sans quitter l'écran des yeux, en m’expliquant le traitement qu’il appliquerait.

Pendant qu'il récitait les diverses méthodes de torture, toujours sans quitter l'ordinateur des yeux (ablations, excisions et utilisation de différentes substances toxiques), j'ai dû faire des gestes vers ma fille Marisa, assise à ma droite, pour lui faire fermer la bouche parce que – je la connais – elle était sur le point de lâcher un juron. Surtout lorsque le médecin a commencé à dire que « les gens, dans leur ignorance, attribuent le cancer à des émotions négatives ou au stress, alors que son origine est clairement un simple microbe » — il utilisa ce terme : 'microbe', pas "bactérie" ou quoi que ce soit d’autre, afin que nous, les sombres ignorants, puissions bien le comprendre.

Le grandiloquent médecin poursuivit son discours sans quitter l'appareil des yeux : « Nous allons d'abord faire quelques analyses », —il plissa les yeux pour se concentrer sur l'information à propos de mon âge sur l'écran— « étant donné son âge, pour établir si son organisme est en état de tolérer le traitement, car la substance qui vous sera administrée, Madame, est très toxique et peut vous tuer ».

« Vous permettez, Monsieur —l'interrompis-je avec impertinence— avant de continuer, je vous préviens par avance, que je ne poursuivrai en aucun cas ce traitement. S’il s’agit de mourir, je peux y arriver sans votre aide et sans votre poison ! Je suis contre le suicide ».

Le médecin a alors, détourné le regard de l'écran –pour la première fois– pour me regarder avec des yeux, cette fois-ci, grands ouverts d'étonnement.

Il n'était pas habitué à ce qu'un patient l'interrompe de manière décisive alors qu’il déployait ses savants commandements, et encore moins à ce qu'il déclare fermement qu'il n'était pas disposé à suivre ses instructions.

Au contraire, la grande majorité se présente au rendez-vous avec un oncologue de renom —comme c'était le cas— vaincue, les épaules affaissées dans une attitude de découragement total, tremblante, remettant la responsabilité de sa vie et de sa mort à quelqu’un d’autre, parce qu'elle a perdu toute intention de les prendre en charge : la peur a colonisé sa volonté, et supplanté tout son pouvoir de décision. 

Le mot : "cancer", pèse lourd sur les épaules des gens, comme dix mille kilos de plomb, ou un camion plein d'ordures, selon vos préférences.

Évidemment, une femme âgée, une vieille, quoi ! qui s’empresse sans hésiter à répondre avec vigueur, et en plus, avec sarcasme, ce n'était pas le développement habituel des rendez-vous au cabinet d'oncologie du Dr De-la-Plante, la clinique "Feel Good", (sans blague : cette clinique existe vraiment !) à Clarens, en Suisse.

Je souhaite vous présenter le Dr De-la-Plante, afin que vous puissiez connaître ce personnage unique, car il représente le paradigme du médecin d'autrefois (même si ce spécimen-là était jeune) : lorsque l'être humain montera dans son évolution, ce genre de personnage sera obsolète.

L'infirmière nous a fait entrer dans le cabinet et nous a signalé trois chaises devant le bureau, derrière lequel attendait le fauteuil vide du médecin. Un grand écran d’ordinateur (symbole sine-qua-non de cette époque) se dressait majestueusement sur le bureau. À ma gauche était assis mon neveu et à droite, ma fille.

Le médecin a alors fait son apparition triomphale : le sourire Colgate, faisant tourner le porte-clés de la voiture sur son index, chemise à manches courtes, aux couleurs vives : rouge, vert, jaune, bleu électrique, avec des images de perroquets et de cacatoès, toute la faune et flore tropicale dans son imprimé, comme s‘il était en vacances aux Fidji. 

C'était sa façon d'exposer et de transmettre sa joie de vivre à ses clients (et non pas des patients), tout comme le nom de sa clinique : Feel Good

Démentiel ! Surtout pour les personnes touchées par le crabe (cancer), qui patientaient dans la salle d'attente : des personnes haletantes, en détresse et souffrance, aux visages tristes et yeux hagards, certaines portant des turbans pour cacher la perte de cheveux.

Permettez-moi de préciser qu’en sortant de la clinique, nous sommes tombés sur la Maserati brillante de couleur cyclamen, que le médecin avait garé à l'entrée de sa clinique, et qui correspondait au porte-clés qui dansait juste avant, entre les doigts du toubib.

Il n’y a aucun doute, la clinique Feel Good c’était un bon business !

Le 'joyeux' docteur, après un ‘bonjour' rapide, sans presque nous regarder, s'assit sur son trône, mettant toute son attention sur l'écran, pour commencer l'exposé décrit ci-dessus.

J'ai déjà raconté mes gesticulations et regards sur ma fille pour qu'elle se taise, en revanche, mon neveu Ricardo, à ma gauche, était muet comme une carpe, et j'avais remarqué que le teint de son visage avait progressivement acquis une couleur blanchâtre très inquiétante.

Quand, enfin, nous avons réussi à quitter la clinique Feel Good, pour ne plus jamais y revenir, j'ai découvert la raison de la couleur grisâtre de mon neveu : il avait ressenti les effets réels de cette phrase très particulière que les francophones utilisent quand quelque chose va très mal pour eux : "ça me fait chier" En fait : il a dû s’enfuir à toute vitesse à la recherche des toilettes !

La peur est l’arme mortelle que la société, avec ses concepts annihilateurs, a implantée dans l’être humain inconscient, lui enlevant tout son pouvoir.

La peur est froide : c'est le froid que vous ressentez sur la nuque, c'est le tremblement de l’ombre qui flotte dans l'obscurité, c'est la grosse pierre dans votre poitrine qui vous paralyse et détruit votre force vitale.

S’il y a quelque chose qui n’est jamais apparue au cours de ce parcours que je relate ici, c’est bien la peur. 

Je suis un Sagittaire : un centaure avec une flèche pointée vers le ciel et les pieds bien plantés dans la Pachamama, je ne me laisserais pas intimider par un simple crustacé à cinq paires de pattes, à la démarche tordue, même si l’une des paires se termine par des pinces à dents… pour mieux vous manger.

Les cellules saines qui composent l’organisme humain, sont lumineuses, d’une lumière chaude.

Les cellules du crabe sont froides, elles n'ont pas de lumière, elles ont perdu leur force vitale, elles ont été contaminées par la peur.

C'est logique : la peur est une graine qui a été semée par les croyances limitantes, pour nous dominer, et que nous avons fait germer avec notre inconscience, en abdiquant notre liberté.

La conscience est tout le pouvoir dont dispose l’être humain. La conscience est lumière.

Ce combat allait donc être, le combat habituel : la lumière contre l’obscurité. Rien de nouveau dans cette civilisation bipolaire.

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Soyez très prudents lorsque vous exprimez un désir, car il se réalisera !

Nous étions fin décembre 2022. Mon anniversaire était déjà passé, ainsi que toute la bastringue autour des vacances de Noël et les chants esclavagistes des dirigeants autour de leur convenable crise sanitaire.

J’étais également en train de finir mon livre "Onix – Monde Zéro", dont le sous-titre, inspiré par cette élite aux commandes, est : "Les Psychopathes du Pouvoir".

Un matin de décembre, dès que j'ai ouvert les yeux, encore à moitié endormie, j'ai eu une vision fugace : un éclair d'un instant, car aussitôt mon mental-chat est intervenu et l'image s'est évaporée.

Cette image était celle d'un énorme être lumineux devant moi, les ailes déployées, ce qui dans l'imaginaire collectif se traduit par le nom d'ange.

Comme je l’ai déjà dit, aucun mental-chat, s’appuyant sur sa raison rabougrie et lacunaire, ne peut accepter un tel événement : c'est une hallucination, il te dira ; tu étais encore endormi ; c'était ton imagination débridée ; Est-ce vraiment ce que j'ai vu ? J'ai dû être confuse. 

La vérité est que, dans cet instant fugace, l’ange a eu le temps de me communiquer une phrase : « Quand tu auras fini, tu devras partir »

"Aïe !

Rappelez-vous : je venais de terminer mon roman, dont l’intrigue parle de psychopathes et se déroule dans « l’au-delà ». Sur le moment j’ai même pensé que ma psychè était sûrement influencée pour avoir mis mon nez dans un tel remue-ménage.

Avec cet état névrotique de mon mental-chat, qui est son état intrinsèque, j'ai formulé un souhait —encore une légèreté de l’inconscient qui ne connaît pas la puissance des manifestations qu'il invoque, et qui n’est pas non plus au courant que ces déclarations se matérialiseront, car l’esprit-chat est loin de savoir que l'être humain est le cocréateur de la réalité : ce que vous décrétez, vous le créez !

C'est ainsi que, depuis l'inconsistance de mon esprit concret, je me suis laissée m'empêtrer dans ses doutes et jouer avec les paris, d’une manière totalement immature et irresponsable : si le monde de l'invisible à nos yeux, à nos sens liés à matière et pour nos restreintes raisons, n’est pas réel, car comme l’a dit Aristote : «ce que ne peut pas se mesurer ou peser, n’est pas réel», si toutes ces croyances que j'avais jusqu'à présent ne sont pas vraies, et si par contre cet ange grand et lumineux que j'ai aperçu pendant un instant sous mes yeux est réel, alors je veux des preuves !

Et... c'est là que tout a commencé.

Comme je vous l’ai dit avant, ne faites pas à partir de votre suprême ignorance, ce qu’elle ne vous permet pas de comprendre, car vos vœux seront exaucés.

Une chose est sûre, la preuve que tu reçois est composée de trois éléments :

1) elle sera en accord à ta capacité à l’encaisser : les êtres de Lumière sont compatissants.

2) Ils t’accompagneront dans le voyage, tu le ressens.

3) il n’y a pas de doutes : tu auras appris.


Ana María Taddei

viernes, 22 de marzo de 2024

 


Aquí les dejo el principio de mi próximo texto, que se tratará de las memorias de mis vivencias reales, acontecidas durante todo el año pasado (2023), después de haber finalizado mi último libro, ONIX-Mundo cero, que acabo de presentarles.  
Continuará...

Por esta luz que me alumbra

julio de 2023

 

—Señora… — comenzó el galeno sin apartar la vista de la pantalla, le explico el tratamiento.

Mientras recitaba diversos métodos de tortura, sin apartar sus ojos del ordenador: ablaciones, extirpaciones y diferentes sustancias tóxicas; tuve que hacer gestos hacia mi hija Marisa, sentada a mi flanco derecho, para que cerrara la boca porque —la conozco—, estaba a un tris de soltar algún improperio. Más que nada en el momento que el galeno soltó lo de que “la gente, en su ignorancia atribuye el cáncer a emociones negativas o stress, cuando su origen puede ser un simple microbio” —dijo así: microbio; ni bacteria ni nada, para que los ignaros lo entendiéramos.

 El doctor seguía con su cátedra, sin apartar nunca los ojos del aparato: “Primero le haremos unos cuántos análisis — achicó los ojos para fijarse en el dato de mi edad, en pantalla—, dado sus años, establecer si su cuerpo está en condiciones de tolerar el tratamiento, debido a que la sustancia que se le administrará es altamente tóxica, y la puede matar.

—Perdón doctor —lo interrumpí con impertinencia—, antes de que prosiga le hago saber, desde ya, que ese tratamiento de ninguna manera lo voy a seguir; para morirme, puedo hacerlo yo sola, sin veneno alguno, soy contraria al suicidio.

El médico apartó su vista de la pantalla —por primera vez—, para mirarme con ojos, esta vez bien abiertos por el asombro.

No estaba acostumbrado a que ningún paciente le interrumpiera en sus mandatos doctos, de forma decidida, y menos a que declarara con firmeza, que no estaba dispuesto a seguir sus indicaciones.

 Por el contrario: la mayoría se presenta a la entrevista con un renombrado oncólogo —como era el caso—, derrotados, con los hombros caídos en una actitud de desánimo total, temblorosos, entregando la responsabilidad de su vida y su muerte, a otro, porque ha perdido toda intención de hacerse cargo de ellas: el miedo ha colonizado su voluntad, y suplantado todo poder de decisión. La palabra: cáncer, pesa en los hombros de la gente como diez mil quilos de plomo, o un camión repleto de basura: como prefieran.

De manera que una señora, de edad avanzada, una vieja, ¡vamos!, que salte a replicar con ese brío, y, además, con sorna, no era el desarrollo habitual de las entrevistas en el consultorio del Dr. De la Planta en su Clínica Oncológica: Feel Good, (no es broma: tal clínica existe) en Clarens, Suiza.

Quiero presentarles al Dr. De la Planta, para que conozcan a este singular personaje, porque él representa el paradigma del médico de los viejos tiempos (aunque este espécimen era joven): cuando el ser humano ascienda en su evolución este personaje será obsoleto.

La enfermera nos hizo pasar al consultorio y nos indicó tres sillas frente al escritorio, detrás del cual esperaba la butaca vacía del doctor. Una gran pantalla de ordenador (símbolo protagónico sine qua non de estos tiempos), campeaba esplendente encima del escritorio. A mi izquierda se sentaba mi sobrino y a la derecha mi hija.

El doctor hizo entonces su aparición triunfal: sonrisa ganadora de Kolinos, revoleando las llaves del auto en su dedo índice, camisa de mangas cortas, en colores vivos: rojo, verde, amarillo, azul eléctrico, con imágenes de papagayos y cotorras, toda la fauna y flora tropical en su estampado, como si estuviera veraneando en las Fiji. Era su manera de exponer y trasmitir la joie de vivre a sus clientes (que no consultantes), lo mismo que el nombre de su clínica: Feel Good. Descacharrante. Sobre todo, para los afectados con el cangrejo (cáncer), que estaban en la sala de espera: ojerosos apesadumbrados, algunos con turbante para disimular la pérdida de sus cabellos.

Aclaro: al salir de la clínica nos topamos con el reluciente Masserati color ciclamen que el doctor había dejado aparcado a la entrada de su clínica, correspondiente al llavero que bailaba entre las manos del catedrático. No hay dudas, la clínica Feel Good marchaba viento en popa!

El alegre doctor, después de un sintético saludo sin mirarnos apenas, tomó asiento en su trono, poniendo toda su atención en la pantalla, para comenzar la exposición descrita más arriba.

Ya conté de mis miradas a mi hija para mantener su boca cerrada; en cambio, mi sobrino Ricardo, a mi izquierda, estaba mudo, pero observé que el color de su tez había adquirido poco a poco un color blanquecino muy acentuado.

Cuando, al fin, salimos de la clínica Feel Good: para nunca volver, me enteré del porqué del color ceniciento de mi sobrino: había experimentado los efectos de esa frase tan peculiar que usan los francófonos cuando algo les cae muy mal: “ça me fait chier”. En efecto: salió corriendo en busca del toilette.

El miedo es el arma mortal que la sociedad, con sus conceptos aniquilantes, ha instaurado en el ser humano inconsciente, quitándole todo su poder.

El miedo es frío: es ese frío que sientes en la nuca, es el temblor de esa sombra andrajosa que flota en la oscuridad, es esa piedra en el pecho que te paraliza y destruye tu fuerza vital.

Si hay algo que nunca apareció en este periplo es el miedo. Soy Sagitario: un centauro con una flecha apuntando al cielo y los pies bien asentados en la Pachamama, no me dejaría amedrentar por un simple crustáceo con cinco pares de patas rusas, de marcha torcida, aunque el primer par terminen en pinzas con dientes: para comerte mejor.  

 

Las células sanas que componen el cuerpo humano: son luminosas: luz cálida.

Las células del cangrejo, son frías, no tienen luz: han perdido su fuerza vital: han sido contaminadas por el miedo.

Es lógico: el miedo es esa semilla que ha sido sembrada por las creencias (religiones, etc.) para dominarnos y que nosotros hemos hecho germinar con nuestra inconsciencia, abdicando de nuestra libertad.

La conciencia es todo el poder que tiene el ser humano. La conciencia es luz.

Esta iba a ser la batalla de siempre: Luz contra sombras. Nada nuevo en esta civilización bipolar.

 

 

 

Mucho cuidado al expresar un deseo: ¡se cumple!

Estábamos a finales de diciembre de 2022. Ya había pasado mi cumpleaños, la parafernalia en torno a las fiestas navideñas, y los cánticos esclavistas de los mandatarios en torno a su conveniente crisis sanitaria.

Estaba también finalizando mi libro: Ónix – Mundo Cero, cuyo subtitulo, inspirado en esa élite al mando es: Los psicópatas del poder.

Una mañana de ese diciembre, apenas abrir los ojos, aún medio dormida, tuve una visión fugaz: un flash de un instante, ya que de inmediato mi mente-gato (mentecato), intervino y la imagen se desvaneció.

Dicha imagen fue la de un enorme ser luminoso ante mí, con sus alas extendidas, lo que en el imaginario colectivo se traduce con el nombre de ángel.

Lo dicho: ninguna mente-gato enarbolando su razón raquítica, puede aceptar un evento así: es una alucinación te dirá; estabas aún dormida; fue tu desbocada imaginación; ¿en verdad fue eso lo que vi?; me habré confundido. Lo cierto es que, en ese instante fugaz, el ángel tuvo tiempo de comunicarme una frase: “Cuando finalices te tienes que ir”

“¡La pucha!” Recuerden: yo estaba finalizando el último tramo de mi novela, cuyo argumento trata sobre psicópatas y se desarrolla en “el más allá”. Pensé, aún, que mi psiquis podía haberse sugestionado por meterme en esos berenjenales.

Con ese estado neurótico de mi mente-gato, estado intrínseco de ellas, formulé un deseo, otra de las liviandades de esa mente inconsciente que no sabe del poder de las manifestaciones que hace, ni mucho menos puede captar que dichas declaraciones se harán realidad, porque una mente-gato, dista mucho de conocer que el ser humano es cocreador de la realidad: lo que decretas, ¡lo creas!

Así fue como, desde la inconsistencia de mi mente concreta me permití enredarme en sus dudas y jugar con las apuestas, como haría un ser inmaduro e irresponsable: si el mundo de lo invisible a nuestros ojos, a nuestros sentidos pegados a la materia y a nuestras escuálidas razones, no es real, porque según me dijo Aristóteles: “si no se puede medir ni pesar, ¡no es real!” Si todas estas creencias que tuve hasta ahora no son verdades, si ese ángel grande y luminoso que vi por un instante ante mis ojos es real: ¡quiero una prueba!

Y… allí comenzó todo

Lo dicho: no juegues ni hagas desde tu ignorancia supina, lo que desde ella no alcanzas a entender, porque lo que pides: te llega.

Una cosa es segura, la prueba que recibes consta de tres condiciones:

 1) Será acorde a tu capacidad para resolverla: los seres de Luz son compasivos

2) Te acompañan en el trayecto, lo sientes.

3) No te queda ninguna duda: aprendiste.