sábado, 23 de marzo de 2024

 

Je vous laisse ici, le début de mon prochain texte, qui portera sur les souvenirs de mes expériences réelles, survenues tout au long de l'année dernière (2023), après avoir terminé mon dernier livre, ONIX-Monde Zéro, que je viens de vous présenter.

À suivre...



A cette lumière qui m’éclaire

(Juillet 2023)

« Alors voilà, Madame... » commença le médecin sans quitter l'écran des yeux, en m’expliquant le traitement qu’il appliquerait.

Pendant qu'il récitait les diverses méthodes de torture, toujours sans quitter l'ordinateur des yeux (ablations, excisions et utilisation de différentes substances toxiques), j'ai dû faire des gestes vers ma fille Marisa, assise à ma droite, pour lui faire fermer la bouche parce que – je la connais – elle était sur le point de lâcher un juron. Surtout lorsque le médecin a commencé à dire que « les gens, dans leur ignorance, attribuent le cancer à des émotions négatives ou au stress, alors que son origine est clairement un simple microbe » — il utilisa ce terme : 'microbe', pas "bactérie" ou quoi que ce soit d’autre, afin que nous, les sombres ignorants, puissions bien le comprendre.

Le grandiloquent médecin poursuivit son discours sans quitter l'appareil des yeux : « Nous allons d'abord faire quelques analyses », —il plissa les yeux pour se concentrer sur l'information à propos de mon âge sur l'écran— « étant donné son âge, pour établir si son organisme est en état de tolérer le traitement, car la substance qui vous sera administrée, Madame, est très toxique et peut vous tuer ».

« Vous permettez, Monsieur —l'interrompis-je avec impertinence— avant de continuer, je vous préviens par avance, que je ne poursuivrai en aucun cas ce traitement. S’il s’agit de mourir, je peux y arriver sans votre aide et sans votre poison ! Je suis contre le suicide ».

Le médecin a alors, détourné le regard de l'écran –pour la première fois– pour me regarder avec des yeux, cette fois-ci, grands ouverts d'étonnement.

Il n'était pas habitué à ce qu'un patient l'interrompe de manière décisive alors qu’il déployait ses savants commandements, et encore moins à ce qu'il déclare fermement qu'il n'était pas disposé à suivre ses instructions.

Au contraire, la grande majorité se présente au rendez-vous avec un oncologue de renom —comme c'était le cas— vaincue, les épaules affaissées dans une attitude de découragement total, tremblante, remettant la responsabilité de sa vie et de sa mort à quelqu’un d’autre, parce qu'elle a perdu toute intention de les prendre en charge : la peur a colonisé sa volonté, et supplanté tout son pouvoir de décision. 

Le mot : "cancer", pèse lourd sur les épaules des gens, comme dix mille kilos de plomb, ou un camion plein d'ordures, selon vos préférences.

Évidemment, une femme âgée, une vieille, quoi ! qui s’empresse sans hésiter à répondre avec vigueur, et en plus, avec sarcasme, ce n'était pas le développement habituel des rendez-vous au cabinet d'oncologie du Dr De-la-Plante, la clinique "Feel Good", (sans blague : cette clinique existe vraiment !) à Clarens, en Suisse.

Je souhaite vous présenter le Dr De-la-Plante, afin que vous puissiez connaître ce personnage unique, car il représente le paradigme du médecin d'autrefois (même si ce spécimen-là était jeune) : lorsque l'être humain montera dans son évolution, ce genre de personnage sera obsolète.

L'infirmière nous a fait entrer dans le cabinet et nous a signalé trois chaises devant le bureau, derrière lequel attendait le fauteuil vide du médecin. Un grand écran d’ordinateur (symbole sine-qua-non de cette époque) se dressait majestueusement sur le bureau. À ma gauche était assis mon neveu et à droite, ma fille.

Le médecin a alors fait son apparition triomphale : le sourire Colgate, faisant tourner le porte-clés de la voiture sur son index, chemise à manches courtes, aux couleurs vives : rouge, vert, jaune, bleu électrique, avec des images de perroquets et de cacatoès, toute la faune et flore tropicale dans son imprimé, comme s‘il était en vacances aux Fidji. 

C'était sa façon d'exposer et de transmettre sa joie de vivre à ses clients (et non pas des patients), tout comme le nom de sa clinique : Feel Good

Démentiel ! Surtout pour les personnes touchées par le crabe (cancer), qui patientaient dans la salle d'attente : des personnes haletantes, en détresse et souffrance, aux visages tristes et yeux hagards, certaines portant des turbans pour cacher la perte de cheveux.

Permettez-moi de préciser qu’en sortant de la clinique, nous sommes tombés sur la Maserati brillante de couleur cyclamen, que le médecin avait garé à l'entrée de sa clinique, et qui correspondait au porte-clés qui dansait juste avant, entre les doigts du toubib.

Il n’y a aucun doute, la clinique Feel Good c’était un bon business !

Le 'joyeux' docteur, après un ‘bonjour' rapide, sans presque nous regarder, s'assit sur son trône, mettant toute son attention sur l'écran, pour commencer l'exposé décrit ci-dessus.

J'ai déjà raconté mes gesticulations et regards sur ma fille pour qu'elle se taise, en revanche, mon neveu Ricardo, à ma gauche, était muet comme une carpe, et j'avais remarqué que le teint de son visage avait progressivement acquis une couleur blanchâtre très inquiétante.

Quand, enfin, nous avons réussi à quitter la clinique Feel Good, pour ne plus jamais y revenir, j'ai découvert la raison de la couleur grisâtre de mon neveu : il avait ressenti les effets réels de cette phrase très particulière que les francophones utilisent quand quelque chose va très mal pour eux : "ça me fait chier" En fait : il a dû s’enfuir à toute vitesse à la recherche des toilettes !

La peur est l’arme mortelle que la société, avec ses concepts annihilateurs, a implantée dans l’être humain inconscient, lui enlevant tout son pouvoir.

La peur est froide : c'est le froid que vous ressentez sur la nuque, c'est le tremblement de l’ombre qui flotte dans l'obscurité, c'est la grosse pierre dans votre poitrine qui vous paralyse et détruit votre force vitale.

S’il y a quelque chose qui n’est jamais apparue au cours de ce parcours que je relate ici, c’est bien la peur. 

Je suis un Sagittaire : un centaure avec une flèche pointée vers le ciel et les pieds bien plantés dans la Pachamama, je ne me laisserais pas intimider par un simple crustacé à cinq paires de pattes, à la démarche tordue, même si l’une des paires se termine par des pinces à dents… pour mieux vous manger.

Les cellules saines qui composent l’organisme humain, sont lumineuses, d’une lumière chaude.

Les cellules du crabe sont froides, elles n'ont pas de lumière, elles ont perdu leur force vitale, elles ont été contaminées par la peur.

C'est logique : la peur est une graine qui a été semée par les croyances limitantes, pour nous dominer, et que nous avons fait germer avec notre inconscience, en abdiquant notre liberté.

La conscience est tout le pouvoir dont dispose l’être humain. La conscience est lumière.

Ce combat allait donc être, le combat habituel : la lumière contre l’obscurité. Rien de nouveau dans cette civilisation bipolaire.

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Soyez très prudents lorsque vous exprimez un désir, car il se réalisera !

Nous étions fin décembre 2022. Mon anniversaire était déjà passé, ainsi que toute la bastringue autour des vacances de Noël et les chants esclavagistes des dirigeants autour de leur convenable crise sanitaire.

J’étais également en train de finir mon livre "Onix – Monde Zéro", dont le sous-titre, inspiré par cette élite aux commandes, est : "Les Psychopathes du Pouvoir".

Un matin de décembre, dès que j'ai ouvert les yeux, encore à moitié endormie, j'ai eu une vision fugace : un éclair d'un instant, car aussitôt mon mental-chat est intervenu et l'image s'est évaporée.

Cette image était celle d'un énorme être lumineux devant moi, les ailes déployées, ce qui dans l'imaginaire collectif se traduit par le nom d'ange.

Comme je l’ai déjà dit, aucun mental-chat, s’appuyant sur sa raison rabougrie et lacunaire, ne peut accepter un tel événement : c'est une hallucination, il te dira ; tu étais encore endormi ; c'était ton imagination débridée ; Est-ce vraiment ce que j'ai vu ? J'ai dû être confuse. 

La vérité est que, dans cet instant fugace, l’ange a eu le temps de me communiquer une phrase : « Quand tu auras fini, tu devras partir »

"Aïe !

Rappelez-vous : je venais de terminer mon roman, dont l’intrigue parle de psychopathes et se déroule dans « l’au-delà ». Sur le moment j’ai même pensé que ma psychè était sûrement influencée pour avoir mis mon nez dans un tel remue-ménage.

Avec cet état névrotique de mon mental-chat, qui est son état intrinsèque, j'ai formulé un souhait —encore une légèreté de l’inconscient qui ne connaît pas la puissance des manifestations qu'il invoque, et qui n’est pas non plus au courant que ces déclarations se matérialiseront, car l’esprit-chat est loin de savoir que l'être humain est le cocréateur de la réalité : ce que vous décrétez, vous le créez !

C'est ainsi que, depuis l'inconsistance de mon esprit concret, je me suis laissée m'empêtrer dans ses doutes et jouer avec les paris, d’une manière totalement immature et irresponsable : si le monde de l'invisible à nos yeux, à nos sens liés à matière et pour nos restreintes raisons, n’est pas réel, car comme l’a dit Aristote : «ce que ne peut pas se mesurer ou peser, n’est pas réel», si toutes ces croyances que j'avais jusqu'à présent ne sont pas vraies, et si par contre cet ange grand et lumineux que j'ai aperçu pendant un instant sous mes yeux est réel, alors je veux des preuves !

Et... c'est là que tout a commencé.

Comme je vous l’ai dit avant, ne faites pas à partir de votre suprême ignorance, ce qu’elle ne vous permet pas de comprendre, car vos vœux seront exaucés.

Une chose est sûre, la preuve que tu reçois est composée de trois éléments :

1) elle sera en accord à ta capacité à l’encaisser : les êtres de Lumière sont compatissants.

2) Ils t’accompagneront dans le voyage, tu le ressens.

3) il n’y a pas de doutes : tu auras appris.


Ana María Taddei

viernes, 22 de marzo de 2024

 


Aquí les dejo el principio de mi próximo texto, que se tratará de las memorias de mis vivencias reales, acontecidas durante todo el año pasado (2023), después de haber finalizado mi último libro, ONIX-Mundo cero, que acabo de presentarles.  
Continuará...

Por esta luz que me alumbra

julio de 2023

 

—Señora… — comenzó el galeno sin apartar la vista de la pantalla, le explico el tratamiento.

Mientras recitaba diversos métodos de tortura, sin apartar sus ojos del ordenador: ablaciones, extirpaciones y diferentes sustancias tóxicas; tuve que hacer gestos hacia mi hija Marisa, sentada a mi flanco derecho, para que cerrara la boca porque —la conozco—, estaba a un tris de soltar algún improperio. Más que nada en el momento que el galeno soltó lo de que “la gente, en su ignorancia atribuye el cáncer a emociones negativas o stress, cuando su origen puede ser un simple microbio” —dijo así: microbio; ni bacteria ni nada, para que los ignaros lo entendiéramos.

 El doctor seguía con su cátedra, sin apartar nunca los ojos del aparato: “Primero le haremos unos cuántos análisis — achicó los ojos para fijarse en el dato de mi edad, en pantalla—, dado sus años, establecer si su cuerpo está en condiciones de tolerar el tratamiento, debido a que la sustancia que se le administrará es altamente tóxica, y la puede matar.

—Perdón doctor —lo interrumpí con impertinencia—, antes de que prosiga le hago saber, desde ya, que ese tratamiento de ninguna manera lo voy a seguir; para morirme, puedo hacerlo yo sola, sin veneno alguno, soy contraria al suicidio.

El médico apartó su vista de la pantalla —por primera vez—, para mirarme con ojos, esta vez bien abiertos por el asombro.

No estaba acostumbrado a que ningún paciente le interrumpiera en sus mandatos doctos, de forma decidida, y menos a que declarara con firmeza, que no estaba dispuesto a seguir sus indicaciones.

 Por el contrario: la mayoría se presenta a la entrevista con un renombrado oncólogo —como era el caso—, derrotados, con los hombros caídos en una actitud de desánimo total, temblorosos, entregando la responsabilidad de su vida y su muerte, a otro, porque ha perdido toda intención de hacerse cargo de ellas: el miedo ha colonizado su voluntad, y suplantado todo poder de decisión. La palabra: cáncer, pesa en los hombros de la gente como diez mil quilos de plomo, o un camión repleto de basura: como prefieran.

De manera que una señora, de edad avanzada, una vieja, ¡vamos!, que salte a replicar con ese brío, y, además, con sorna, no era el desarrollo habitual de las entrevistas en el consultorio del Dr. De la Planta en su Clínica Oncológica: Feel Good, (no es broma: tal clínica existe) en Clarens, Suiza.

Quiero presentarles al Dr. De la Planta, para que conozcan a este singular personaje, porque él representa el paradigma del médico de los viejos tiempos (aunque este espécimen era joven): cuando el ser humano ascienda en su evolución este personaje será obsoleto.

La enfermera nos hizo pasar al consultorio y nos indicó tres sillas frente al escritorio, detrás del cual esperaba la butaca vacía del doctor. Una gran pantalla de ordenador (símbolo protagónico sine qua non de estos tiempos), campeaba esplendente encima del escritorio. A mi izquierda se sentaba mi sobrino y a la derecha mi hija.

El doctor hizo entonces su aparición triunfal: sonrisa ganadora de Kolinos, revoleando las llaves del auto en su dedo índice, camisa de mangas cortas, en colores vivos: rojo, verde, amarillo, azul eléctrico, con imágenes de papagayos y cotorras, toda la fauna y flora tropical en su estampado, como si estuviera veraneando en las Fiji. Era su manera de exponer y trasmitir la joie de vivre a sus clientes (que no consultantes), lo mismo que el nombre de su clínica: Feel Good. Descacharrante. Sobre todo, para los afectados con el cangrejo (cáncer), que estaban en la sala de espera: ojerosos apesadumbrados, algunos con turbante para disimular la pérdida de sus cabellos.

Aclaro: al salir de la clínica nos topamos con el reluciente Masserati color ciclamen que el doctor había dejado aparcado a la entrada de su clínica, correspondiente al llavero que bailaba entre las manos del catedrático. No hay dudas, la clínica Feel Good marchaba viento en popa!

El alegre doctor, después de un sintético saludo sin mirarnos apenas, tomó asiento en su trono, poniendo toda su atención en la pantalla, para comenzar la exposición descrita más arriba.

Ya conté de mis miradas a mi hija para mantener su boca cerrada; en cambio, mi sobrino Ricardo, a mi izquierda, estaba mudo, pero observé que el color de su tez había adquirido poco a poco un color blanquecino muy acentuado.

Cuando, al fin, salimos de la clínica Feel Good: para nunca volver, me enteré del porqué del color ceniciento de mi sobrino: había experimentado los efectos de esa frase tan peculiar que usan los francófonos cuando algo les cae muy mal: “ça me fait chier”. En efecto: salió corriendo en busca del toilette.

El miedo es el arma mortal que la sociedad, con sus conceptos aniquilantes, ha instaurado en el ser humano inconsciente, quitándole todo su poder.

El miedo es frío: es ese frío que sientes en la nuca, es el temblor de esa sombra andrajosa que flota en la oscuridad, es esa piedra en el pecho que te paraliza y destruye tu fuerza vital.

Si hay algo que nunca apareció en este periplo es el miedo. Soy Sagitario: un centauro con una flecha apuntando al cielo y los pies bien asentados en la Pachamama, no me dejaría amedrentar por un simple crustáceo con cinco pares de patas rusas, de marcha torcida, aunque el primer par terminen en pinzas con dientes: para comerte mejor.  

 

Las células sanas que componen el cuerpo humano: son luminosas: luz cálida.

Las células del cangrejo, son frías, no tienen luz: han perdido su fuerza vital: han sido contaminadas por el miedo.

Es lógico: el miedo es esa semilla que ha sido sembrada por las creencias (religiones, etc.) para dominarnos y que nosotros hemos hecho germinar con nuestra inconsciencia, abdicando de nuestra libertad.

La conciencia es todo el poder que tiene el ser humano. La conciencia es luz.

Esta iba a ser la batalla de siempre: Luz contra sombras. Nada nuevo en esta civilización bipolar.

 

 

 

Mucho cuidado al expresar un deseo: ¡se cumple!

Estábamos a finales de diciembre de 2022. Ya había pasado mi cumpleaños, la parafernalia en torno a las fiestas navideñas, y los cánticos esclavistas de los mandatarios en torno a su conveniente crisis sanitaria.

Estaba también finalizando mi libro: Ónix – Mundo Cero, cuyo subtitulo, inspirado en esa élite al mando es: Los psicópatas del poder.

Una mañana de ese diciembre, apenas abrir los ojos, aún medio dormida, tuve una visión fugaz: un flash de un instante, ya que de inmediato mi mente-gato (mentecato), intervino y la imagen se desvaneció.

Dicha imagen fue la de un enorme ser luminoso ante mí, con sus alas extendidas, lo que en el imaginario colectivo se traduce con el nombre de ángel.

Lo dicho: ninguna mente-gato enarbolando su razón raquítica, puede aceptar un evento así: es una alucinación te dirá; estabas aún dormida; fue tu desbocada imaginación; ¿en verdad fue eso lo que vi?; me habré confundido. Lo cierto es que, en ese instante fugaz, el ángel tuvo tiempo de comunicarme una frase: “Cuando finalices te tienes que ir”

“¡La pucha!” Recuerden: yo estaba finalizando el último tramo de mi novela, cuyo argumento trata sobre psicópatas y se desarrolla en “el más allá”. Pensé, aún, que mi psiquis podía haberse sugestionado por meterme en esos berenjenales.

Con ese estado neurótico de mi mente-gato, estado intrínseco de ellas, formulé un deseo, otra de las liviandades de esa mente inconsciente que no sabe del poder de las manifestaciones que hace, ni mucho menos puede captar que dichas declaraciones se harán realidad, porque una mente-gato, dista mucho de conocer que el ser humano es cocreador de la realidad: lo que decretas, ¡lo creas!

Así fue como, desde la inconsistencia de mi mente concreta me permití enredarme en sus dudas y jugar con las apuestas, como haría un ser inmaduro e irresponsable: si el mundo de lo invisible a nuestros ojos, a nuestros sentidos pegados a la materia y a nuestras escuálidas razones, no es real, porque según me dijo Aristóteles: “si no se puede medir ni pesar, ¡no es real!” Si todas estas creencias que tuve hasta ahora no son verdades, si ese ángel grande y luminoso que vi por un instante ante mis ojos es real: ¡quiero una prueba!

Y… allí comenzó todo

Lo dicho: no juegues ni hagas desde tu ignorancia supina, lo que desde ella no alcanzas a entender, porque lo que pides: te llega.

Una cosa es segura, la prueba que recibes consta de tres condiciones:

 1) Será acorde a tu capacidad para resolverla: los seres de Luz son compasivos

2) Te acompañan en el trayecto, lo sientes.

3) No te queda ninguna duda: aprendiste.

sábado, 26 de agosto de 2023

ONIX-Mundo cero - Prólogo de Lorena Amkie (más abajo, mis respuestas a las preguntas de mi querida amiga Lorena)

 

"El texto me pareció divertido, un acercamiento fresco y con sentido del humor al género de desarrollo personal, con bastantes propuestas al respecto: un mundo donde holográficamente podemos seguir disfrutando de modo sensorial (me quedo con curiosidad de cómo será el sexo y el placer ahí), en el que uno no deja de ser quien era en la Tierra sino que es más (al sumársele los recuerdos de vidas anteriores) y puede seguir relacionándose con personas con las que tiene cosas en común, pero a la vez hay otras personas que pueden caerle mal (como le ocurre a Capote con Elis). Esto rompe la clásica idea de que luego somos ángeles, todos buenos y lindos, y aborda el asunto con gracia. 

Me parece que se presentan o abren muchos temas que podrían desarrollarse más, si bien la brevedad del texto no me molesta. Te menciono algunos de ellos: estamos en una especie de limbo o de dimensión que es superior a la terrenal pero que es de cierto modo un escalafón a otras dimensiones: quisiera saber quién más andaba por ahí, en qué ocupan las demás personas su tiempo (¿todos tienen misiones?), por qué es necesaria la fantasía de las infusiones, las compras y el aspecto físico en este plano todavía, si hay otras mentes superiores a la mente-águila, si hay otros "villanos" que no sean necesariamente los políticos, por qué Helena aprende tan rápido (¿tiene algún poder especial?), si de verdad es tan fácil pasar del primer escalafón o si es demasiado precoz su "ascenso" (¿no sería parte del aprendizaje ser también guía, antes de ya moverse a Andrómeda? ¿No se ha ido demasiado pronto?) y un largo etcétera. Creo que eliges un tema interesante y un tono original, que es pedagógico pero no pesado o cargante, aunque corre el riesgo de quedar un poco superficial.

 Como ya te mencioné, me causaron gracia los nombres utilizados, pero hay algo que me llama la atención: ¿por qué será que los seres evolucionados tienen necesidad de arreglar los asuntos de la Tierra? Esto son preguntas que me surgen, no quiere decir que el texto esté mal. ¿No sería el objetivo de la evolución pasar al siguiente plano y desentenderse del anterior? Es interesante que busquen erradicar virus de planetas que ya no les incumben, como si el ser humano terrestre siguiera de cierto modo siendo el centro de la creación universal, ¿no te parece curioso? Y que se hagan intervenciones externas para erradicar los "virus" que son generados por la propia ignorancia humana, cuando el poder, al final, es otorgado por las masas a los virus, no son de generación espontánea, ¿no? Hitler no habría logrado lo que logró sin docenas de colaboradores cercanos, cientos de acólitos y millones de indiferentes. En este sentido es interesante la lectura de Hannah Arendt "La banalidad del mal", que plantea que estos "malos malísimos" son parte de un engranaje, aunque nos parece más sencillo pensar que existen y que si los erradicamos, erradicamos "el mal". 

 En fin, estas son preguntas filosóficas, te las comparto por si te es interesante, pero más allá de estas posturas u opiniones, el texto está bien escrito, fluye bien, es una especie de aventura aislada en este mundo alterno o dimensión alterna que, como digo, podría desarrollarse de una manera mucho más profunda, como si pudiera existir una colección de relatos semejantes que abordaran distintos aspectos de estas dimensiones, con distintos personajes o aprendizajes (¡una idea de proyecto!). 

 Te deseo toda la suerte con este y cualquier otro escrito al que te enfrentes y te agradezco una vez más la confianza. 

¡Un abrazo!

Lorena."




Queridos amigos,

Tengo la alegría de anunciarles que "ONIX - Mundo cero" se edita la semana próxima!

Compartiré más datos en breve.

Aquí van las respuestas que había prometido en mi última publicación de este blog :

Respuestas a Lorena

 1)       ¿Todos tienen misiones?

 La misión de la vida es la evolución: cambiar de un estado de conciencia por medio del aprendizaje —conocimiento—, en Gaia o en Ónix; de forma consciente o inconsciente; por imposición de otros o autoimpuesta; fluidamente o a los golpes; o según el libre albedrío innato de cada cual.

 2)       ¿Por qué es necesaria la fantasía de las infusiones, las compras y el aspecto físico en este plano todavía?

Porque esas sensaciones crean atmósfera cálida y de cercanía, y de eso se trata narrar una historia: hacer que uno pueda, con la imaginación, vivir en ella. Además, en Ónix también se posee un cuerpo material, mucho más sutil, menos denso que en Gaia, pero con sensaciones incluso más vívidas puesto que es un estado de conciencia en expansión, con sentidos nuevos que en Gaia no se conocen: como los que permiten la telepatía y la teletransportación.

3)       ¿Hay otras mentes superiores a la mente-águila?

El universo es una sinfonía mental, y la conciencia en su evolución, va viajando a través de ella en los diferentes estados de vibración que va alcanzando. El simbolismo de la mente-águila sugiere un estado superior a la mente-gato, por las razones que se exponen en la narración. Se supone que, en los siguientes grados de conciencia, la mente se denominará con otros símbolos que sugieran sus poderes —no necesariamente serán siempre nombres del reino animal.

 4)       ¿Hay otros “villanos” que no sean necesariamente los políticos?

 Los “villanos” están en todas partes, pero la clase de villanos a que hace referencia esta historia, es decir: los virus-parásitos del poder, encuentran en las élites políticas y religiosas su caldo de cultivo ideal:  el poder es su alimento.

 5)       ¿Por qué Helena aprende tan rápido (tiene algún poder especial), si de verdad es tan fácil pasar del primer escalafón o si es demasiado precoz su “ascenso” (no sería parte del aprendizaje ser también guía, antes de ya moverse a Andrómeda, no se ha ido demasiado pronto)?

 Helena no posee ningún poder especial, esas epifanías o “iluminaciones” súbitas pueden sucederle (¡y suceden!), a cualquiera en su momento. Es lo que ahora llaman salto cuántico

En Ónix no existen escalafones —como en Gaia—. ya que tampoco existe el tiempo cronometrado; por lo tanto, cada uno decide con libertad cuál será su próxima experiencia en el camino de evolución: es el tiempo eterno.  Ser guía es solo una de las opciones infinitas. 

Helena elige marchar a Andrómeda porque Intuye (la intuición se activa mucho en las mentes-águila), que allí podrá ejercitar las prerrogativas telepáticas y la transportación, artes de su interés en esa etapa, y más que nada recuperar sus recuerdos que le son vitales para vivificar la conciencia. Es probable (esto no aparece en la novela porque para mí escribir también es un viaje), que ella ya haya estado antes en Andrómeda, y lo haya olvidado, entonces intuitivamente va hacia ese lugar para que su corazón le devuelva lo que dejó allí: re-cor-dar: hacer consciente lo que ya sabes. El recuerdo es eso: viajar a lugares donde ya has estado para volver a sentir lo que has sentido allí.

 6)       ¿Por qué será que los seres evolucionados tienen necesidad de arreglar los asuntos de la Tierra?¿No sería el objetivo de la evolución pasar al siguiente plano y desentenderse del anterior? 

Esa necesidad (“arreglar asuntos de la tierra”), obedece justamente a su condición de evolucionados. La evolución de un ser humano significa expandir la conciencia a través de la superación de dos aspectos fundamentales que lo integran: mental y sensible.

Ello significa que la superación debe hacerse de forma integral en los dos aspectos. Supongamos que un ser humano —apelando a su poder de decisión—, optara por desarrollar al máximo su mente-gato: en estrategias, sagacidad, rapidez, memoria, etc.; pero no se ocupara en absoluto de su parte sensible: cada vez que esa parte le acercara una consideración con respecto a un asunto, o le sugiriera un aspecto en ese campo esa persona la ignorase por completo. Entonces ese ser humano se convertiría en alguien muy sagaz, hasta brillante —mentalmente—, pero carente de compasión, empatía y solidaridad con sus semejantes: justo lo que en la presente novela se define como una Forma o Virus- Parásito del Poder: un psicópata.

Siguiendo este razonamiento podría surgir la pregunta: ¿Podría alguien optar por superar su aspecto sensible ignorando el mental? 

Pero esa opción no es posible debido a que la parte sensible está regida por el corazón y las razones del corazón difieren en esencia a las razones de la mente-gato ya que esta última se alimenta de conceptos y estos tienden a ser estáticos, equivocados, y contaminados de creencias falsas; mientras que las razones del corazón (corazonadas) se nutren de la intuición que es la sabiduría del espíritu (Yo Soy) que se manifiesta a través del inconsciente, voz que no estamos acostumbrados a escuchar justamente porque la mente-gato con su parloteo constante mete mucho ruido (por ese motivo hay que ponerla a dormir).

El ser humano ha depositado su confianza en las razones contaminadas de su mente. Al ver el resultado obtenido (civilización actual), es evidente que se necesita un cambio total: Cambiar el nefasto: “Más vale malo conocido que bueno por conocer”, nos ha llegado la hora de vencer el miedo a la incertidumbre que es otra de las “razones” falsas con que la humanidad ha sido inoculada: miedo y culpa, (aquí toda religión y toda enseñanza proveniente de los Estados, debería decir: ¡presente!, si existiera alguna posibilidad de autocrítica…, que no existe.

 Referencia a “La banalidad del mal” de Hannah Arendt.

Si bien es cierto que la persistencia de los virus en Gaia se hace posible por la ignorancia de las masas que los   alimentan, también en esa ignorancia pertinaz que ha atrasado la evolución humana, ha existido una intervención esclavizante de fuerzas oscurantistas, en especial desde los estamentos de poder (Estados y religiones), que han menoscabado el libre albedrío por medio de sus dos armas más poderosas: el miedo, y la culpa.

No es el cometido de este escrito desarrollar la teoría filosófica de Hannah Arendt, solo mencionaré una frase con la que ella engloba el hacer del ser humano: “vita activa”, refiriéndose a los campos en que se desarrolla el mismo: biológica, mundana y de pluralidad en libertad (recordemos aquí su rechazo a toda forma de totalitarismo y pensamiento único: dogmatismos y fanatismos; en desmedro de la individualidad.

Recordemos también que todo lo que no se mueve, se estanca (aún el agua cristalina y pura) se pudre y muere, tanto en la biología como en la psique.

En lenguaje cotidiano lo decía mi abuelita: si no te mueves: te mueres.

¿A qué viene todo esto?:

 A que el hombre -masa que hace posible la supervivencia de los virus-del poder que lo esclavizan: No piensa, no hay movimiento ni mental ni sensible ese estatismo se traduce en indiferencia, o sea: muerte.

Se convierte en un autómata que desarrolla sus movimientos en base a creencias conceptos anquilosados, donde ni su mente ni sensibilidad han participado en la elaboración.

Me llama mucho la atención la sorpresa de Hannah Arendt al asistir al juicio de Eichmann en Jerusalén y encontrarse con una persona “terriblemente normal”, cuando ella esperaba encontrar un monstruo maquiavélico; incluso se sorprende al encontrarse frente a una persona de escasos recursos intelectuales.

Es que la atrocidad a que puede verse impelida cualquier persona no depende de sus capacidades sino de si está vivo o muerto y la vida es solo movimiento, si has dejado de moverte: ya sea física, mental o sensiblemente: estás muerto. Un virus no es más que eso: algo que arrastra una parte muerta tras de sí.

Si tu mente solo es capaz de mover pensamientos ya pensados en su interior y su sensibilidad se ha paralizado manteniendo a tu corazón bloqueado, es lógico que la vida deje de palpitar. Un Zombi sí: es capaz de cometer cualquier atrocidad.


viernes, 22 de mayo de 2020

Margarita : símbolo de pureza, inocencia y amor


Anoche tuve un sueño. En él aparecía un ser luminoso y me decía lo siguiente:
"Imagina que mañana al despertar puedes expresar todo lo que guardas en tu corazón. Puedes decir lo que piensas y lo que sientes, a todo el mundo, sin temor alguno. ¿Cómo te sentirías, si de verdad pudieras hacer esto? ¿Qué dirías?"
A la mañana cuando desperté, la pregunta sonaba en mi alma. Y siguió resonando todo el día.
¿Qué dirías, qué dirías?
¡Pero, si yo no tengo nada que decir! —era la respuesta. Si siempre he hablado a todos, sin ningún temor de nada. Soy libre. Puedo decir lo que siento, donde quiera. Y lo he hecho.
Pero la pregunta seguía resonando en mi interior: ¿Qué dirías?
La respuesta era siempre el vacío. No tenía nada que decir. Y eso me producía un desasosiego tremendo. Si tuviera la posibilidad de abrir mi corazón al mundo para expresar lo que hay en él —insistía— no hallaba nada qué decir. No había nada.
Me preocupaba porque en mis sueños, siempre recibo mensajes llenos de contenido, ¿cómo esta vez no hallaba ninguno?
Cuando terminó el día, encontré la respuesta. Sentí alivio, porque el vacío dentro, siempre produce angustia. Pero también allí apareció la pregunta otra vez: ¿Qué dirías? ¿Se puede, en esta sociedad enferma, decir sin duda, lo que uno siente en su corazón?
¿Se puede decir lo que “no es políticamente correcto”, sin que “la policía del pensamiento” se te eche encima, te escrache y te queme en la hoguera, como a las brujas en la santa inquisición?
¿Se atreve uno, a desafiar a la turba lapidaria y fanática?
¿Por qué nos callamos la boca?
¿Por qué dejamos que los aleccionados, por un lado, y los idiotas útiles, por otro, nos cierren la boca con sus pensamientos mordaza, basados en la sensiblería más baja e hipócrita? —Ojo, ¡el dolor de las víctimas es real! La hipocresía es la de quien los usa como emblema para sus fines dogmáticos.
Y entonces te zampan: Terrorismo de estado = Pensamiento mordaza.
A mí se me murió un hijo. “El dolor por la muerte de tu hijo, no vale nada. No murió “luchando por sus ideas”, no fue “un revolucionario”, entra en una categoría mucho más baja” —¡me lo han dicho! ¡Claro! Eduardo murió trabajando, nunca empuñó un arma, ni fusiló a nadie, ni se peleó con ninguno de sus mil amigos, porque no pensaran como él.
La concepción de terrorismo de estado —cosa absolutamente pavorosa e inadmisible— es maniquea, para algunos.
¿Quién instauró terrorismo de estado?: ¿Stalin, con sus purgas; Hitler, con la masacre judía; Mussolini el socialista inventor de fascismo; Mao Zedong con sus millones de disidentes asesinados; Fidel Castro y su paredón, Ernesto Guevara, en su cabaña de tortura, con su gorra vendedora mundial de camisetas; Juan Perón, y sus montoneros; Nicolás Maduro, y su pajarito esquizoide; Daniel Ortega, asesino con el plus de violador de menores, Kim Jong Un, que tuvimos la esperanza —hace poco— de su “retiro”, con lo cuál tomaría su lugar Kim Yo-jong, que es más asesina aún? Porque “ellos”, nunca sueltan ¡Nunca!
La lista de psicópatas al mando es infinita, pavorosa y brutal. Pero las personas que manejan estas listas son maniqueos, y tienen su elección privada, ¡a gusto y piacere!
Aclaración: El ave sagrada como símbolo de los maniqueístas, es el PAVO —¿curioso no?
Porque han instaurado una categoría de muertos : si el muerto no es políticamente correcto, su muerte no vale nada.
Mi hijo Eduardo, está muerto. No lo puedo encontrar fuera, porque no está en ningún lado de ese afuera. Solo lo puedo encontrar dentro mío y dentro de las personas que lo amamos. Nada más.
Por ese motivo, es que no hallaba nada que decir, porque aparece el pudor, cuando se trata de hablar de un ser amado que ha muerto. Porque es falta de respeto exponer ese ser amado, que ya no está acá, al zarandeo público. Porque el dolor requiere intimidad, y solo se habla con las personas que estuvieron cerca, y que también sufren, y también lo amaron.
Eduardo siempre será una ausencia dentro de mi corazón, pero nunca un vacío.
El tenía sueños, mil sueños. Tenía veinte años y esperanzas. Quería estudiar, amar, sonreír, surfear, tocar la guitarra y todo eso estaba haciendo. También estaba trabajando, y se murió, en un accidente de trabajo, en el aeropuerto de Ginebra con sus sueños tronchados.
Murió en la pista, golpeado por la hélice de una avioneta, una madrugada de invierno.
Hacía un mes que trabajaba allí.
El reglamento de un aeropuerto, establece la prohibición de mandar a un trabajador nuevo a la pista, antes de que cumpla los tres meses de adiestramiento para dicha labor.
El encargado que tuvo la irresponsabilidad de saltarse el reglamento, y mandarlo a la muerte, era un señor de nacionalidad española, y era adicto al trago.
Eso apareció en el parte policial.
¿Qué se debe hacer con dicha información, que hasta el día de hoy, después de veinte años, solo el núcleo familiar más íntimo, conocemos?
Ninguno de nosotros quiso ahondar en ellos, y menos hacerlo público. Porque eso es solo morbosidad.
¿Por qué y para qué hacerlo? Nadie que sufra, y sienta dolor real, desea exponer detalles morbosos. A no ser que sea hipócrita, chantajista emocional o muy necio.
¿Debía reclamar justicia? ¿A quién? ¿A Dios? ¿Al destino?
¿Debía odiar al irresponsable que lo mandó a la pista? ¿O tal vez a todos los españoles? ¡¿A quién?!
¡A Nadie! No tenía que reclamar a nadie, ni salir a volcar al mundo mi dolor y mi sensación de injusticia.
Nunca me gustó hablar de su muerte, sino de su vida. El dolor es real, y necesario, y siempre está allí. Pero nunca quise anclarme en él, porque es algo muy enfermo hacerlo. Porque ese ser amado no merece tal afrenta. Porque ese ser amado, no merece tal falta de respeto, de exponerlo al morboso zarandeo público. Su preciosa imagen no merece ser expuesta en estandartes propagandísticos, como si fueran una marca de jabón, levantados por gente anónima, ni usados para hacer reclamos, sean vocingleros o silenciosos.
Los muertos usados para el odio y la revancha. ¡Qué horror!
El planeta y sus habitantes, no necesitan que volquemos en él, la basura.
Los ecologistas se preocupan mucho de las bolsas de nylon y del petróleo, pero nadie se ocupa de la basura psicológica.
Nadie precisa de tu dolor, porque cada uno ya tiene los suyos. ¡Vaya que sí!
Ni precisa tu odio, tu protesta, tu reclamo. No precisa nada de eso.
Si no eres capaz de dejar de odiar si no eres capaz de perdonar, si no eres capaz de compadecerte de los vivos, y sólo puedes andar por el mundo con tus estandartes de muerte, anclado en el cuerpo del dolor, entonces tú también estás muerto, y llevas la muerte por estandarte, porque haces culto de ella.
Yo también sentí la muerte de mi hijo como mi propia muerte, yo también tuve mi cuota de encadenamiento a ese dolor, yo también sentí la injusticia y reviví mil veces su muerte en una pista helada. Pero en algún momento del proceso, pude salir de esa cárcel de muerte.
Una amiga me preguntó una vez: —¿No sentís rabia, cuando viene a visitarte el mejor amigo de tu hijo, no pensás que es injusto que él este vivo y tu hijo no?
Quedé horrorizada. Luego pensé, ¿cómo es posible que haya gente que pueda siquiera pensar de esa manera?
Y sí, las hay.
El rencor es un veneno muy potente. La rabia, la envidia, la violencia.
Los resentidos, con su cara gris y enojada, están enfermos. Enfermos crónicos de victimismo. Y lo peor, no lo saben, no quieren curarse, y enferman al mundo entero con su veneno.
¿Dónde están los desaparecidos?
No los busques porque YA NO ESTÁN.
No están DESAPARECIDOS, están MUERTOS. Fueron asesinados.
Como Eduardo. No están acá, no los busques.
Están en un lugar donde tu limitación y tu materialismo, no los van a encontrar.
Si no puedes dar vuelta la página, y perdonar y amar y vivir, tienes muchas alternativas:
a) El suicidio
b) Trasmutar la muerte por vida, mientras puedas, y agradecer que aún vives.
c) Permanecer anclado a tu dolor y resentimiento, pero sin arrojárselo a la cara a los demás.
d) Hacer marchas de silencio, alrededor de la mesa de tu comedor, y llevar las caras de tus muertos, en banderines, si tienes esa morbosa psicopatía.
e) Irte a África cuidar a los niños que aún viven, pero que se mueren de hambre comidos por las moscas, mientras tú lloras pegado a tu heladera bien llena de alimentos. —ya sé que todos no tenemos vocación de Madre Teresa, yo al menos no la tengo.
f) Hacer justicia con tus propia manos —para mí es válido, si te atienes a las consecuencias y eres corajudo— sales a asesinar a todos los que te parezcan culpables de tu dolor. Eso al menos hará que te encierren en un manicomio, y dejes de arrojar tu veneno por ahí.
g) Cultivar margaritas del color que quieras, blancas, amarillas, y rojas. Negras no, porque NO EXISTEN, y a no ser que nazcan mal, no les faltan dos pétalos ni tres, y son el símbolo de la pureza, la inocencia, la amistad incondicional, el amor puro, y de nada más.
h) Si no te convence ningún punto. Ve a llorar al cuartito. Yo lo hice, y lo hago todavía, pero con amor, con gratitud, ayudando a los que puedo, y sin tirar basura para arriba, porque al final cae encima de ti.
Si crees que haciendo lo que estuviste haciendo durante cuarenta, cincuenta, o cien años, sin advertir que nunca da resultado, porque ni te devuelve tus muertos ni deja de haber terrorismo de estado, entonces esto incrementará mas tu odio, porque eso es lo único que da sentido a tu vida : ODIAR.
Si no quieres o no te gusta escuchar lo que pienso, no leas.
Si quieres impedirme que lo escriba, eres fascista y amante del pensamiento único.
Si quieres decir que soy insensible, no es cierto, quizás tú seas hipócrita.
Yo sí quiero que el mundo cambie. Yo sí quiero dejar de echar basura al planeta.
Yo sí estoy contra la violencia de cualquier género.
Yo sí estoy de acuerdo con hablar correctamente y dejar de inventar payasadas con ese lenguaje alternativo de idiotas.
Y contrariamente a lo que promueven las aberrantes margaritas negras deshojadas, y a los que las esgrimen, que solo obedecen al culto de la muerte y a instalar en el mundo el culto del odio, yo sí pienso que el mundo solo, solo se salva con amor y perdón.

viernes, 3 de abril de 2020

LAS BLANCAS PALOMITAS. (Un cuento chino)

LAS BLANCAS PALOMITAS.        (Un cuento chino)



Diálogo de dos niñas en el año 1960. Podría ser totalmente actual si no fuera porque los chinos ahora han hecho un híbrido:  El CC  (Comunismo-Capitalista). Parece que uniendo lo peor de las dos cosas. ¡Lo que no logren los chinos…!

Comentario: No hemos logrado cambiar unos trapos en cien años, para mejorar la vida de nuestros niños. ¿Cómo lograremos evolucionar, cambiar el estado de conciencia, o las vibraciones del planeta?, también por ellos.


Josefina sale corriendo de la escuela. Lleva la túnica sucia y arrugada; la moña, es un jirón de cielo azul, al viento.
    ¡Eh, Sol, esperame! —grita -jadeando- a una niña, que camina modosa, unos pasos adelante.
Esta se detiene y exclama azorada:
    ¡Pah, ¿qué le la pasó a la túnica?!
    ¡Que me agarré con la colorada! Nos revolcamos por todo el patio, hasta que vino la señorita Lilí y nos separó.
    Pero, ¿por qué?
    Me robó la goma. Y decía que era de ella, ¡mentirosa!,  yo la conozco, sé bien que era la mía, porque tiene una punta mordida.
    La colorada es flor de mentirosa. ¿Y ahora, qué le vas a decir a tu madre? miráte los bolsillos, ¡todos descocidos!
    Mi madre ni se entera. Es María la que lava;¡y la plancha con almidón, qué asco! Odio la túnica; cuando terminen las clases vamos a vestir al Judas con ella, ¡así la quemamos, total, es el último año! ¿Qué te parece?
    ¡Estás loca! ¡No se puede quemar la túnica!
    ¿Quién te dijo?
    Se lo escuché decir a mi padre.
    Yo nunca oí nada de eso.
    Porque no ponés atención, andás siempre metida con tus cuentos de hadas, y no escuchás lo que hablan los mayores.
    ¡Puaj, porque es mucho más divertido ¿vos no te das cuenta el aburrimiento que son los grandes? Ellos fueron los que inventaron la túnica, que es la cosa más incómoda que hay. ¡porque ellos no tienen que usarla, que si no…!
    No seas bestia, no la inventaron los grandes; la inventó Varela.
    ¿Estás segura? Y, ¿quién era Varela?
    Creo que es el del monumento de la placita. El de las escuelas públicas. Porque parece que antes había que pagar para ir a la escuela…
    ¡Ah! ¿será por eso que antes cantaban: “dame un vintén para ir a la escuela”?
    ¡No bruta! Lo que pasa es que antes en vez de maestras había monjas, y si te portabas mal te hacían hincar en sal, y entonces vino Varela y dijo que las maestras no se vistieran como monjas y que los niños tenían que ir con túnica blanca. ¿Nunca oíste hablar de las “palomitas de Varela?”.
    ¡No! Yo no tenía ni idea de todo eso. Pero ¿viste a la maestra Rosita? ¡no será monja, pero casi, y los vestidos que usa son horribles ¿Y a nosotros, los niños, porqué se les ocurrió disfrazarnos con esta cosa espantosa? ¡Y blanca, además, que te movés y se ensucia!
    Si, es cierto, es muy incómoda, pero parece que es algo que tiene que ver con la democracia.
    ¡No te puedo creer! Estás inventando.
    Sí, ¡no seas ignorante! Mi papá dice que es algo que sale de los griegos…
    ¿Lo qué, las túnicas?
    Si, creo que las túnicas también salen de los griegos; pero ahora te estoy diciendo de la democracia, que mi papá dijo que al usar túnica parecemos todos iguales y que eso es democrático.
    ¡Ah sí, cómo no!. Pareceremos iguales, ¡pero yo no soy ninguna mentirosa, ni una ladrona de gomas como la colorada! Y además, ¿Cuándo te sacás la túnica, qué pasa con la democracia, eh?
    Ah, eso sí, que no lo sé, no lo dijo…
    Entonces los chinos deben ser muy democráticos, porque el otro día, vi una película y andaban todos igualitos, en bicicleta y vestidos de gris.
    No sé, nada. Yo de los chinos lo único que sé es que comen mucho arroz. Bueno, llegamos. ¿venís a jugar, después de tomar la leche?
    Sí, pero primero tengo que hablar con María, para que me salve con lo de la túnica.
                                                       
                                                                - - - - - - --

    ¡Pero niña, mira en qué estado traes esa túnica!
    Sé buena, María, y no se lo digas a mamá. Es que me "pelié"  con una niña.
    ¿La colorada otra vez?
    Si, ¡es una estúpida, me robó la goma!
     Siempre lo mismo, Jóse, cuando no es la goma es el lápiz, ¿es que no aprenden nada en esa escuela?
     Si, María, hoy aprendí algo, pero no en la escuela, me lo contó Sol.
    ¡Bueno, cuéntame! ¿Qué aprendiste?
     Que la túnica es algo así como un símbolo de la democracia.
    ¡¿Pero qué cosas dices, Josefina, mire si un estropicio como este, va a tener que ver con algo tan importante?!
     Se lo dijo a Sol, su papá.
    A ver, explícame como sería eso.
     Dijo que con la túnica somos todos iguales, y eso es democracia
    ¡Linda cosa si esa tal democracia, queda en manos de una lavandera, para que la remiende! ¡Y encima para que los niños la estropeen durante cuatro horas, y el resto del día, quede colgada de una percha!.
    ¿Y entonces, para vos, María, qué cosa es la democracia?
    ¡Yo que sé, niña! Creo que es algo que se vota para que tu mamá me aumente el sueldo.